Laurent Schwartz, Big Pharma et moi
Laurent Schwartz, Big Pharma et moi
LA PRÉSENTE PAGE A ÉTÉ ANNEXÉE AU SITE LE 15 JUILLET 2022
(Les conclusions dont il s’agit sont par essence provisoires. Toutefois, plus de 5 années ininterrompues d’études, de réflexions et d’expériences éclairantes, leur confèrent une relative robustesse).
(dernière mise à jour : 26 septembre 2024
-Conclusion n° 1 : Pour avoir écrit et publié à la face du monde médical que le cancer n’était en réalité qu’une maladie somme toute banale à laquelle il [le monde médical] n’avait décidément rien compris, le docteur Laurent Schwartz s’est vu ostracisé d’extrême façon et condamné au mutisme. Il importe peu que son protocole se soit finalement avéré précieux s’agissant de ralentir l’évolution de nombreux cancers, l’histoire a retenu — et Schwartz à sa suite — que le cancer est en réalité un dérèglement cellulaire à la fois facile à analyser et effroyablement complexe à maîtriser, dont la médecine ne vient qu’exceptionnellement à bout, toujours hélas aux dépens de l’intégrité physique et clinique du patient.
-Conclusion n° 2 : Le protocole métabolique de Laurent Schwartz, s’est — à date en ce qui me concerne — avéré d’une grande efficacité s’agissant de ralentir l’évolution d’un adénocarcinome prostatique réputé agressif (Gleason 8), encore et toujours non métastatique 5 ans après sa révélation.
-Conclusion n° 3 : Réduit au silence, Laurent Schwartz semble n’avoir pas pu (ou pas su ?) poursuivre ses travaux, ceux qui lui auraient permis de pousser son avantage vers toujours plus de pertinence. L’idée de prendre en quelque sorte sa suite m’est tout naturellement venue dans la mesure où je me suis vu placé en situation de cobaye tout désigné. Au hasard de mes recherches, je suis tombé à point nommé, — tardivement, hélas ! — au printemps 2022, sur les études épigénétiques conduites par le professeur Vincenzo Castronovo de l’université de Liège, qui étudie l’incidence sur nos gènes — incluant la cancérogenèse — des bons et mauvais traitements que nos habitudes de vie (notamment diététiques) leur font subir. L’ensemble de ces considérations ouvrant notamment le chapitre des compléments alimentaires, j’ai hardiment décidé de les intégrer sous la forme d’une folle débauche de gélules, principalement composées de vitamines et d’antioxydants, qui viennent s’ajouter aux deux initialement inscrits au protocole métabolique de Laurent Schwartz. Les premiers résultats sont particulièrement encourageants. Sur le long terme, comme de raison, aucune « étude » n’existe et n’existera jamais concernant les effets de telles doses d’antioxydants, de vitamines et autres, sur les possibles mutagenèses dont les cellules tumorales se sont fait une spécialité par le truchement des mitoses. Nous verrons bien… mais au moins me reste-t-il une chance raisonnable d’échapper dans l’immédiat au pire : le cercle infernal des solutions finales (sic) de l’institution médicale dont les dix années d’études de ses membres ne font pas pour autant d’incontournables et honnêtes sachants, au mieux de moindres ignorants, que l’incapacité du cerveau humain à intégrer dans son ensemble le sujet infiniment complexe de nos cellules contraint à se spécialiser — lourd aveu d’incompétence universelle —, les privant ainsi de la pointure intellectuelle et morale nécessaire à la pleine pertinence de décisions qu’ils prennent depuis le bunker du despotique secret médical.
-Conclusion n° 4 : Le 14 octobre 2022, Laurent Schwartz a publié un manifeste-schwartz-2022.pdf par lequel il réaffirme tout ce qui a été son combat des dernières années, arguant notamment que l’obstination de la science qui cherche avant tout à tuer les cellules tumorales est une voie sans issue [ndlr du 13 juillet 2024 : à l’issue de plusieurs années de réflexions obsédantes et de constats sans appel, je crois pouvoir ajouter : « et d’une consternante stupidité — revenant à confondre les effets et les causes »]. Ce manifeste, bien que truffé d’imperfections, constitue une réplique robuste, en forme de revanche, à ses détracteurs, et la confirmation pour moi qu’en privilégiant son protocole j’ai fait le bon choix… Ceux qui se croiraient suffisamment instruits et intelligents pour se dispenser d’en prendre connaissance rejoindraient la masse compacte des indigents. On y apprend notamment qu’à chaque victoire incomplète d’une thérapie classique (radiothérapie, chimiothérapie, hormonothérapie), correspond un embryon de récidive, dont il résulte une agressivité accrue des cellules tumorales survivantes, immanquablement fatale à plus ou moins court terme — et ce d’autant plus que le traitement initial semble avoir été efficace au vu de l’imagerie de contrôle. Selon Schwartz, seule la chirurgie effectuée dans des conditions spatiales favorables est habituellement couronnée de succès, tout comme la chimiothérapie adressée aux enfants. À l’occasion de la parution de son nouveau livre-manifeste, Laurent Schwartz a été interviewé par une chaîne périphérique (un jour par Arte ?…) La vidéo est accessible sur youtube à https://www.youtube.com/watch?v=_kq3FX9B4-8 (ne vous laissez pas décourager par les annonces publicitaires ; durée : 37 mn). En résumé, il invite à réorienter la recherche médicale en direction de la physique des particules élémentaires, considérant le rôle principal joué par les électrons libres indésirables présents dans nos cellules, source de nombreuses maladies dégénératives, notamment du cancer.
-Conclusion n° 5 : Vers la fin du mois de février 2023, en visionnant à nouveau la vidéo dont il est question ci-dessus, un fort courant d’autosatisfaction m’a parcouru l’échine : en additionnant les thèses de Laurent Schwartz et celles de Vincenzo Castronovo (deux médecins exceptionnels, à la fois consciencieux et désintéressés — suivez mon regard…), j’avais bel et bien édifié la thérapie qui a mis mon cancer en panne (cf la page Dernières nouvelles à la date du 25 février 2023).
-Conclusion n° 6 : À l’issue de 5 années consacrées à la recherche d’une possible guérison, je crois pouvoir affirmer que le protocole métabolique de Laurent Schwartz, associé à la théorie génomique de Vincenzo Castronovo (qui consiste à limiter les erreurs de réplication de l’adn par la prise massive d’antioxydants et autres principes vitaminiques et sels minéraux), permet de tenir en échec, au moins pour un temps, le cancer de la prostate, mais ne permet pas de reconstituer l’état précancéreux, ainsi que l’avait imprudemment avancé Laurent Schwartz lors de la toute première édition de son protocole métabolique.
-Conclusion n° 6 bis : Je remets en question ma conclusion n° 6. Afin d’en comprendre la raison, le lecteur se reportera, à la page Dernières nouvelles, à la date du 19 novembre 2023 : à la suite d’une réaction immunitaire de leurs défenses naturelles (pour certaines dopées), quelques centaines de malades se sont trouvés totalement guéris, dans la mesure où leurs cellules tumorales ont « miraculeusement » cédé la place à des cellules saines, comparables à celles de leur état précancéreux. J’y fonde, pour ma part, l’espoir qu’à terme mes cellules tumorales pourraient en faire autant, sachant que c’est seulement, hélas ! depuis le mois de février 2023 que j’ai sensiblement enrichi ma pharmacopée, temps relativement court au regard de la durée totale de ma thérapie, partiellement entreprise fin mai 2019. N.B. Le retard relatif que j’ai pris à compléter ma pharmacopée, je le « dois » au dénigrement systémique des compléments alimentaires opéré par l’industrie médicale officielle et un pouvoir politique aux ordres, comptables du temps qu’il m’a fallu consacrer à en questionner la pertinence et la déontologie.
-Conclusion n° 7 : La révélation officielle — c’est-à-dire médicalement validée — de la guérison de Guy Tenenbaum permet de conclure à une possible — quoique laborieuse — guérison, même dans les cas les plus avancés (Cf la page « Dernières nouvelles » du présent site à la date du 15 avril 2023). Pour autant, cette guérison demeure interrogeable à moyen terme car il fait toujours l’objet d’un suivi attentif de ses médecins.
-Conclusion n° 8 : Déclarer à un cancéreux que la réduction de la taille de sa tumeur au moyen d’une chimio-radio-thérapie constitue une avancée, voire une victoire sur la maladie, constitue un abus de confiance, voire une escroquerie caractérisée de la part d'un membre dépositaire de l’autorité médicale. Certes, réduire la taille d’une tumeur, qui croît au point d’étouffer une fonction vitale adjacente, présente un intérêt majeur indiscutable. Mais si, dans le même temps, le thérapeute ne fournit pas au patient les moyens endogènes et/ou exogènes de contenir une nouvelle prolifération des cellules cancéreuses les plus agressives, ladite victoire se traduira presque à coup sûr par une flambée tumorale directement imputable à la prétendue « thérapie à visée curative » mise en œuvre, et aux terribles dégâts qu’elle inflige en toute connaissance de cause à l’adn du patient et à ses défenses immunitaires. À titre d’exemple, je vous invite à prendre connaissance du cas délirant de l’une de mes correspondantes : plus de 50 chimiothérapies combinées à 33 séances de radiothérapie administrées à la suite d’une opération chirurgicale s’adressant à un petit cancer du sein. Dégâts irréversibles et récidive à la clé…Document xlsx renseigné par la patiente elle-même, que j’ai rebaptisé AUSCHWITZ.xlsx pour l’occasion.
-Conclusion n° 9 : Dans la mesure où une majorité de cancers apparaissent au détour de la vieillesse, c’est-à-dire lorsque le corps voit s’appauvrir ses facultés naturelles d’autodéfense (phénomène qui se double depuis quelques décennies d’un appauvrissement de notre alimentation — une perte de 75% en matière de vitamines et autres sels minéraux de nos fruits et légumes peut être considérée), il résulte de ce constat multiple qu’une composante majeure de la guérison consisterait à compenser les défaillances endogènes de notre corps (et exogènes de notre alimentation) par des compléments alimentaires adéquats, notamment ceux qui se dégagent des études épigénétiques de Vincenzo Castronovo. Pour ma part, près de six ans se sont écoulés depuis la révélation de mon cancer de la prostate de mauvais pronostic. Pour autant, je n’ai toujours mal nulle part quoique, je le répète, je ne me tienne absolument pas pour guéri. Mais passe le temps, et la farce thérapeutique (ni rayons, ni chimio, ni hormono) tourne bel et bien au jubilatoire…
À suivre (?)…
À suivre…